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Association de Défense des Animaux en Detresse - association de protection animale loi 1901 (Ain).
 
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 Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable

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frimousse




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Date d'inscription : 10/09/2005

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MessageSujet: Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable   Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable EmptyDim 27 Avr - 4:03

A tous ceux qui ont rédigé et signé notre condamnation.
A tous ceux qui ont fermé les yeux et ne nous ont pas sauvé :
"Avis mortuaire pour nous les chiens et chats de LL de La Louvière..


Ceci n'est pas une pétition ....
On n'a plus voulu nous aider , nous chiens contaminés , chats des rues
On n'a plus voulu nous adopter , nous chiens et chats moribonds , chiens "rebus"
On cherche à démolir notre refuge malfamé, nous chiens condamnés , chats sacrifiés
Nous chiens et chats de La Louvière
-yuki , 9 ans
-Zouzou, 3 ans
-Bali 10 ans
-Polo trop vieux
-Minnie , trop vieille
-Bella 5 ans
-Bilbao4 ans
-Max 3ans
-cristal 5 ans
-Paty 8 ans
-Plum 11 mois
-Jongo 1 an
-Princesse 2 ans
-Ipsos
-Louna 7 mois
-Lucky 8 ans
-Calou 10 mois
-Roxy 6 ans
-Aston 1an
-Miel 5 ans
-Safran
-Zelie 9 mois
-Puce 2 ans
-Pepita 5 ans
-Tom 3 ans
-Jack 3 ans
-Conny 2ans
-Tara 8 ans
-Lindt 3ans
-Diaz
-Java 2 ans
-Balsane 1 an
- Bolto
-Zola 1an

Nous serons donc euthanasiés très prochainement .....
Vous étiez notre espoir , mais vos mains ne se sont jamais tendues vers nous .
Vous
qui êtes si loin de nous , vous qui n' avez pas voulu voir l'amour que
nous avons à partager , vous devenus si indifférents à nos désirs de
bonheur, vous avez décidé de nous abandonner à nouveau .
Vous avez
décrété de nous condamner , pour des idées , pour des rumeurs , pour
quelques "décideurs "qui ont jugé bon de nous fermer toutes les portes
de la vie .
Nous vous remercions tous de faire abréger nos souffrances ....
Nous serons désormais exemplaires, exemplaires de l'idée que parfois on peut tuer à distance.


Nous pourrons mourir l'âme en paix grâce à la bonne conscience de tous ceux qui auront oeuvré pour notre -bien -être.
Ne nous pleurez pas , nous n'en valons pas la peine ...
Nous nous contenterons juste d' un dernier regard , celui que vous n'avez pas voulu avoir pour nous .....

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Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable Hpim2019
Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable Hpim1946



A vous qui avez programmé notre mort:
" Vous n'avez rien changé!!
Nos frères et soeurs qui vivent encore dans les autres fourrières de Belgique et de France vous supplient!!
Par
pitié , laissez-les être sauvés par ceux qui viennent dans ces endroits
de mort parler pour leurs vies et tenter de faire de nos fourrières des
refuges. "
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frimousse




Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 10/09/2005

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MessageSujet: Re: Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable   Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable EmptyDim 27 Avr - 4:03

Ce message fait suite à une pétition « secrète » (transmise par des
gens dont la fiabilité n'est plus à prouver, du coup) qui selon le cas,
est diffusée par, des personnes pensant bien faire, des amoureux des
animaux qui ne pensent pas aux conséquences à moyen terme de leurs
actes, des gens peu scrupuleux qui ont un pic d'ego et qui se sentent
l'âme d'un sauveur du monde mais qui n'ont soif que d'une seule chose,
briller, et enfin, de gens qui se basent sur « il parait que » et « il
faudrait », …



Bref…. C'est merveilleux, comme au temps
de la chasse aux sorcières, et comme l'est d'ailleurs l'ère du temps,
il est venu le temps de montrer du doigt, de dénoncer, de lancer « une
action » contre la Louvière….



Je vous arrête de suite,
loin de moins, à aucun instant, je ne cautionne les fourrières, les
euthanasies, les conditions de détention qui ne sont pas optimales…



En
revanche, ce que je cautionne pas un seul instant ce sont les actions
de « cœur » (ou plutôt de « pulsion »), primitives, irréfléchies, et
basées sur le lavage de cerveau….



On s'attaque à l'un
des refuges parmi des centaines, qui euthanasie, et dont des animaux
sont morts, euthanasiés ou malades. Dois je rafraîchir la mémoire de
certains en rappelant que notre pays, et la France, tout deux fiers
représentants de pays où l'on euthanasie en masse, où les fourrières
sont parfois des bastions si clos que même le protecteur le plus zélé y
laisse toute son énergie, parfois, en vain ?



Près de
nous tous, des refuges ou fourrières, qui euthanasient, parfois des
dizaines d'animaux par semaine, voire plus, et qui n'ont jamais, un
seul instant voulu de l'aide des protecteurs ? Qui ne connaît pas un
chien ou un chat, ou un autre animal ayant littéralement crevé par
manque de soins, par manque de conditions adaptées ?



Nos
lois, en Belgique comme en France, sont pourries, et il n'est pas
utile, je crois, de vous rappeler combien chacun diffuse de SOS,
combien de co-voit pour sauver une vie, combien d'appels à dons ont été
réalisés et combien d'animaux sont morts, alors même que tout le monde
s'était mobilisé ?



Il est irréfléchi, irresponsable,
dangereux, et prétentieux, de s'imaginer un seul instant que les héros
vont triompher en ciblant un seul refuge pratiquant l'eutha, de
surcroît quand ici et ailleurs ne dénombrons plus nos morts…



En
outre, attaquer le problème à la fin de la chaîne, à la fin de cette
spirale de merde qui commence le jour où un animal né, comme nous tous,
sans avoir d'autre choix que d'être là, n'est pas logique en soi, il
faut s'attaquer à l'origine, à la racine des faits… Ce qui est la
source du problème, est que, précisément, les délais de fourrière, et
l'euthanasie, sont inscrits dans nos textes de lois :



Je vous rappelle pour mémoire les lois françaises :

Art. L.211-24 du Code rural
Chaque
commune doit disposer soit d'une fourrière communale apte à l'accueil
et à la garde des chiens et chats trouvés errants ou en état de
divagation jusqu'au terme des délais fixés aux articles L. 211-25 et L.
211-26, soit du service d'une fourrière établie sur le territoire d'une
autre commune.
Chaque fourrière doit avoir une capacité adaptée aux
besoins de chacune des communes pour lesquelles elle assure le service
d'accueil des animaux en application du présent code. La capacité de
chaque fourrière est constatée par arrêté du maire de la commune où
elle est installée.
La surveillance dans la fourrière des maladies
réputées contagieuses au titre de l'article L. 221-1 est assurée par un
vétérinaire titulaire du mandat sanitaire instauré par l'article L.
221-11, désigné par le gestionnaire de la fourrière. La rémunération de
cette surveillance sanitaire est prévue conformément aux dispositions
du troisième alinéa de l'article L. 221-11.
Les animaux ne peuvent
être restitués à leur propriétaire qu'après paiement des frais de
fourrière. En cas de non-paiement, le propriétaire est passible d'une
amende forfaitaire dont les modalités sont définies par décret.

Art. L. 211-25 du Code rural
I.-
Lorsque les chiens et les chats accueillis dans la fourrière sont
identifiés conformément à l'article L. 214-5 ou par le port d'un
collier où figurent le nom et l'adresse de leur maître, le gestionnaire
de la fourrière recherche, dans les plus brefs délais, le propriétaire
de l'animal. Dans les département officiellement déclarés infectés par
la rage, seuls les animaux vaccinés contre la rage peuvent être rendus
à leurs propriétaires.
A l'issue d'un délai franc de garde de huit
jours ouvrés, si l'animal n'a pas été réclamé par son propriétaire, il
est considéré comme abandonné et devient la propriété du gestionnaire
de la fourrière, qui peut en disposer dans les conditions définies
ci-après.

II.- Dans les départements indemnes de rage, le
gestionnaire de la fourrière peut garder les animaux dans la limite de
la capacité d'accueil de la fourrière. Après avis d'un vétérinaire, le
gestionnaire peut céder les animaux à titre gratuit à des fondations ou
des associations de protection des animaux disposant d'un refuge qui,
seules, sont habilitées à proposer les animaux à l'adoption à un
nouveau propriétaire. Ce don ne peut intervenir que si le bénéficiaire
s'engage à respecter les exigences liées à la surveillance vétérinaire
de l'animal, dont les modalités et la durée sont fixées par arrêté du
ministre chargé de l'agriculture.
Après l'expiration du délai de garde, si le vétérinaire en constate la nécessité, il procède à l'euthanasie de l'animal.

III.-
Dans les départements officiellement déclarés infectés de rage, il est
procédé à l 'euthanasie des animaux non remis à leur propriétaire à
l'issue du délai de garde.

Art. L. 211-26 du Code rural
I. -
Dans les départements indemnes de rage, lorsque les chiens et les chats
accueillis dans la fourrière ne sont pas identifiés, les animaux sont
gardés pendant un délai franc de huit jours ouvrés. L'animal ne peut
être remis à son propriétaire qu'après avoir été identifié conformément
à l'article L. 214-5. les frais de l'identification sont à la charge du
propriétaire.
Si, à l'issue de ce délai, l'animal n'a pas été
réclamé par son propriétaire, il est considéré comme abandonné et
devient la propriété du gestionnaire de la fourrière, qui peut en
disposer dans les mêmes conditions que celles mentionnées au II de
l'article L. 211-25.

II. – Dans les département officiellement
déclarés infectés de rage, il est procédé à l'euthanasie des chiens et
des chats non identifiés admis à la fourrière.

Voici les lois belges :



Art. 21. § 1er. Sans préjudice d'une éventuelle convention avec

l'administration communale, le responsable accueille les animaux qui

lui sont présentés pour autant qu'il dispose de l'infrastructure d'accueil

et des connaissances adéquates.

§ 2. A l'arrivée d'un animal, le responsable vérifie si celui-ci est

porteur d'une marque d'identification.

Pour les animaux porteurs de marques d'identification, le responsable

:

1° s'il s'agit d'animaux perdus ou errants, entreprend immédiatement

les démarches nécessaires pour retrouver le propriétaire de

l'animal et l'avertir sans délai;

2° s'il s'agit d'animaux déposés spontanément, s'assure, à la réception

ou, en tous cas avant de se défaire de l'animal, que le responsable

de l'animal lui-même a consenti à le céder au refuge.

§ 3. Dans le cas où l'état sanitaire ou le comportement d'un animal le

nécessite ou s'il y a d'autres raisons qui rendent impossible le

placement ou l'adoption d'un animal, il peut être procédé à la mise à

mort de l'animal d'une manière qui respecte le bien-être, en concertation

avec le vétérinaire de contrat qui pratiquera lui-même les

euthanasies nécessaires, et les mentionnera dans le registre.



Art. 20. § 1. De hoofdactiviteit van een dierenasiel moet zijn de

opvang van verloren, achtergelaten, verwaarloosde, in beslag genomen

of verbeurdverklaarde dieren. Het asiel tracht, in de mate van het

mogelijke, de dieren die hiervoor in aanmerking komen te plaatsen en

waakt erover het verblijf van de opgevangen dieren niet nodeloos te

verlengen. Het fokken en het verkopen van dieren door een asiel zijn

verboden.

§ 2. Voor soorten waarvoor geen huisvestingsnormen zijn vastgesteld,

gaat de Dienst, vooraleer een erkenning wordt afgeleverd, na of

de omstandigheden geschikt zijn om de op te vangen dieren te

huisvesten.

§ 3. Diersoorten die meer gespecialiseerde kennis vereisen worden in

de mate van het mogelijke, opgenomen in een dierenasiel erkend voor

deze soorten.



Art. 21. § 1. Onverminderd een eventuele verbintenis met het

gemeentebestuur neemt de verantwoordelijke de hem aangeboden

dieren op voor zover hij over de gepaste opvangruimte en kennis

beschikt.

§ 2. Bij de aankomst van een dier gaat de verantwoordelijke na of dit

een identificatieteken draagt.

Voor de dieren die een identificatieteken dragen :

1° neemt de verantwoordelijke in geval van verloren of zwervende

dieren onverwijld de nodige stappen voor het terugvinden van de

eigenaar van het dier en om deze onmiddellijk te verwittigen;

2° wanneer het gaat om dieren die spontaan werden afgestaan,

verzekert hij zich er van, bij de ontvangst of in ieder geval alvorens het

dier uit de inrichting te verwijderen, dat de verantwoordelijke van het

dier zelf instemt om dit aan het asiel af te staan.

§ 3. Wanneer de gezondheidstoestand of het gedrag van een dier het

noodzaken of wanneer er andere redenen zijn die het plaatsen of

adopteren van een dier onmogelijk maken, kan het dier gedood worden

met inachtneming van zijn welzijn en in overleg met de contractdierenarts

die zelf de nodige euthanasie zal uitvoeren en deze in het

register zal vermelden.
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frimousse




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Date d'inscription : 10/09/2005

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MessageSujet: Re: Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable   Pétition contre La Louvière : à lire avant l'irréparable EmptyDim 27 Avr - 4:04

A qui faut il s'attaquer? Et à qui faut il s'adresser ? N'est pas plus
utile, même lorsque l'on pense, par une action isolée et stérile,
sauver des animaux, de tenter à ce moment là de les sauver tous, en
s'attaquant directement aux politiciens, de demander le soutien aux
associations de protection des animaux de grande envergure, afin que
vos impôts cessent d'être injectés dans les fourrières, et afin que les
refuges, associations, et protecteurs indépendants puissent enfin avoir
les moyens de gérer ce nombre bien trop énorme d'abandons, de
maltraitances ?



N'est il pas mieux de penser aux
actions qui, à court, moyen, et long terme seront bénéfiques aux
animaux, et qui les aideront, tous, sans exception ?

Nous avons
les animaux de compagnie à défendre, mais aussi les animaux d'élevage,
sans compter d'autres causes qui nous sont chères à tous, en fonction
de notre sensibilité propre ? Nous nous battons contre des moulins à
vent, et à peine un animal est il sauver qu'il faut recommencer
ailleurs…



« Nous ne les sauverons pas tous », certes,
mais nous pouvons au moins tenter. Et tenter aussi de faire, pour le
moment, le mieux pour ceux qui se retrouvent, sans l'avoir choisi, dans
des refuges ou fourrières plus ou moins décentes.

Il y a des
refuges qui s'occupent merveilleusement bien de leur pensionnaires,
bien sûr, mais combien « crèvent » faut de moyens, faute de visibilité,
faute de communication ?





Imaginez une action
ciblée sur un refuge de votre connaissance… Peu importe lequel… Vous
souvenez vous de toutes les fois où vous avez lu « surtout n'appelez
pas la fourrière », de peur que cela ne bloque tout dialogue avec les
personnes qui travaillent sur place, où les assocs, qui de part ces
actions menées à la pulsion, n'ont parfois plus accès à des lieux plus
ou moins sordides ? Dois je vous rappeler des refuges ou fourrière du
nord, sud, est ouest, centre de la Belgique et de la France où il ne
fait pas bon être un animal abandonné ? Et que dire des « moches », «
âgés », « timides », et « sauvages »….



Que faire alors
? Ne gérer les sauvetages des animaux que lorsque c'est facile, que
lorsque que c'est gratuit, pas compliqué, quand les animaux sont dans
de bonnes conditions ? Bien sûr, il faut les aider, mais ceux qui n'ont
eu que le malheur, par un hasard qui leur vaut une vie de merde, de se
retrouver en plus, dans un refuge ou une fourrière pourrie, ceux là,
doit on les laisser crever à cause de conditions qu'eux-mêmes n'ont pas
choisies ?



Un animal ne se sauve pas de lui-même, il
attend dans sa cage que l'on vienne lui tendre la main, et quand on ne
sait même pas qu'il existe, et lorsque la communication est coupée,
avec des gens de plus ou moins bonne volonté en ces lieux, que se
passe-t-il ? Ils meurent, et on n'y pense pas, car on ne les voit pas.
Ces futurs oubliés méritent ils que des gens, pensant les sauver,
contribuent encore à leur fin tragique, enfoncent encore ou détériorent
encore des situations bien difficiles ? Je ne le pense pas…



Vous
souvenez vous, un automne, ou un hiver, de ce refuge dans le nord de la
France, dont on a parlé souvent, contre lequel les héros de la
protection sont intervenus, des actions ciblées contre le refuge ont
été menées.. Au final, « Champagne ! », ce refuge qui n'était plus aux
normes a été fermé… Les conséquences de cette « victoire »…. Quasiment
tous les chats et tous les chiens ont été euthanasiés..



Et
alors, ces « dommages co-latéraux », dignes d'un discours d'un autre
temps, ont-ils servi à contribuer à une amélioration des conditions des
animaux dans d'autres refuges ? Non, rien, le rideau est tombé… Qui a
leur mort sur la conscience ? Personne… C'est toujours la faute à
quelqu'un d'autre, mais même lorsque l'on a participé à ce genre
d'actions, étrangement, on dort bien, on ne pense pas à cette pile de
cadavres, qui, en plus d'avoir peu de chances au départ, sont partis
bien plus vite encore « grâce » à ceux qui pensaient avoir la science
infuse en matière de sauvetage ? Combien de ces « dommages co-latéraux
» pensez vous encore faire avant que cela ne bouge ? N'y a-t-il pas
d'action plus vaste, de propositions plus ciblées, globales, qui
pourraient servir à tous, qui pourraient être engagées ?



Si
personne ne s'occupe plus de ces animaux, vous imaginer ce que cela
signifie... Ils vont tous mourir un à un, sans que plus personne ne
puisse se préoccuper de leur sort. Il y a encore tant de regards qui
nous émeuvent, tant d'histoires qui nous hantent, avons-nous le droit
de penser ce qui est bien, sans nous concerter, tous ensemble, plutôt
que de mener des actions comme de véritables petits Che Guevarra de
pacotille, tels des croisés de la première heure, avec des raccourcis
clé en main ? Qui paie au final ? Le responsable du refuge ou de la
fourrière, qui rentrera tout aussi paisiblement chez lui le soir, même
après la fermeture, ou après les restrictions de collaboration avec des
associations ou particuliers, qui se bougent jour et nuit pour parfois
« n'en sauver qu'un ? ».



Non, ceux qui paient, ce sont
ceux qui sortent, dans des sacs poubelles, morts, dans l'indifférence
la plus totale… Une vie est une vie, et peu importe où elle se
trouvera, peu importe les conditions de merde, je ne pourrai jamais
laisser crever un animal sous prétexte de ceci ou de cela, ce n'est en
rien se montrer un collabo, mais il faut juste souligner une seule
chose… Les humains, leurs conflits, leurs principes et les « Yaka
Faukon », ce n'est pas mon souci, mon souci est de faire que cette vie
là soit sauve, point barre. Je ne pense qu'à une seule chose, cette vie
là, puis la suivante, que d'autres choisiront peut être de sauver ou
non, pour des raisons plus ou moins complexes...


Les
conditions très peu évidentes, parfois (souvent) de sauver un animal
sont autant de barrières à franchir pour que cet être connaisse une vie
meilleure.

Que l'on soit parfois attristé, choqué, consterné,
énervé, sceptique, scandalisé, est un fait, et nous l'avons tous vécu,
mais il est maintenant temps de réfléchir aux moyens de sauver ces
animaux, sans que ces derniers ne subissent encore plus leur arrivée
forcée dans les refuges et fourrières…

Toute action isolée,
menée sous le coup de la pulsion ne servirait à rien... Il est facile,
et risqué de réagir sous le coup de l'émotion.... Et il faut penser aux
conséquences de ses actes, dont bien souvent les gens qui ont mené
l'action se laveront les mains, et dont d'autres, avec du recul, se
diront, « c'était peut être une erreur »… Une erreur qui coûte la vie
est criminelle, et on ne peut jouer avec une vie en pesant bien faire.
..

Ne nous concentrons que sur une seule chose aujourd'hui, les
actions à mener au niveau le plus élevé de nos gouvernements
respectifs, aux associations nationales qui devraient toutes appuyer
notre cause, et en cessant enfin de voir la paille dans l'œil du voisin
mais la poutre dans le sien.



Si vous nous avons, une
bonne foi pour toute, l'impulsion nécessaire pour mener une action,
adressons nous en masse aux gouvernements qui dirigent ces pays où l'on
euthanasie encore, et aux associations de protection animale
susceptible de nouer le dialogue, enfin, pour que ces animaux
connaissent des conditions de détentions enfin correctes dans chaque
refuge français et belge…
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